Est-ce que je porte ma croix?
Qu’est-ce qu’un véritable chrétien? Certains diront que c’est une personne qui a accepté Jésus comme son Sauveur personnel. D’autres diront que c’est un pécheur sauvé par grâce au moyen de la foi. D’accord, mais plus concrètement quel est le signe qu’une personne est un véritable disciple de Jésus? La croix! Non seulement celle qui a été érigée sur le mont du calvaire il y a deux milles ans, mais aussi celle que vous portez invisiblement sur vos épaules. Voici ce que Jésus disait: Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge chaque jour de sa croix, et qu'il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la sauvera. (Luc 9.23-24). Les étapes de la vie chrétienne sont crois, croix et croît. En d'autres mots, entre la foi initiale en l’œuvre de Jésus-Christ et la croissance spirituelle vers la maturité se trouve l’humiliation, la souffrance et la mort. C’est ce que Jésus voulait dire lorsqu’il parlait de la nécessité de porter notre croix. Pour le paraphraser, Jésus disait en fait: Si vous voulez vraiment devenir chrétien, préparez-vous à lutter avec votre propre chaire, à être rejeté par ce monde et à être attaqué par le diable. Il appert évident que Jésus ne connaissait pas les principes de marketing moderne ! Mais son appel avait le mérite d’être claire, net et précis. Un appel qui demeure encore à notre époque moderne. Posons-nous donc la question : est-ce que je porte ma croix? Voici quelques indicateurs qui nous aideront à répondre à cette question essentielle.
1. Je m’identifie à Jésus-Christ.
Les gens aiment s’associer aux champions et aux vainqueurs. C'est pourquoi, ils sont fiers d’être partisans du Canadien au hockey ou du Brésil au soccer. Par contre, beaucoup de croyants ont honte de leur foi en Jésus et n’osent pas trop s’afficher comme étant chrétien au travail ou à l’école. Qui veut se vanter en effet, selon les valeurs de ce monde, d’avoir un homme mort sur une croix pour héros? Porter sa croix, c’est déclarer et vivre publiquement sa foi en Jésus malgré les risques de critiques, de rejets et de moqueries.
2. Je souffre pour Jésus-Christ
Personne également n’aime souffrir, moi le premier. Comme quelqu’un a déjà dit : certains changent en voyant la lumière alors que d’autres changent en sentant la chaleur. Qui ne se rappelle pas d’un incident quand tout petit nous avons tenté toucher au rond chaud du poêle malgré les avertissements de notre mère? L’avez-vous refait? Non! C’est la souffrance qui vous l’a appris. La souffrance est pédagogique en ce qu'elle nous pousse à changer, corriger, évoluer. Dieu veut nous apprendre la confiance, la sainteté, la discipline, la consécration, l’engagement et toutes ces choses afin de se glorifier dans nos vies et pour ce faire il doit permettre des circonstances difficiles. Humblement, je dois vous avouer que j’ai de multiples cicatrices spirituelles causées par des péchés que Dieu a extirpés de mon cœur, des rejets au travers desquels Dieu a voulu m’apprendre à me confier en Lui seul, des humiliations pour briser mon orgueil, des épreuves pour tester ma foi etc. Porter sa croix, c’est subir les diverses souffrances de la vie chrétienne en sachant que Dieu est à l’œuvre et que son plan est parfait.
3. Je meurs en Jésus-Christ.
Billy Graham a déjà dit la chose suivante. Quand Jésus disait si vous voulez me suivre, prenez votre croix, c’est la même chose que s’il disait aujourd’hui, venez et amenez votre chaise électrique ou portez votre chambre à gaz. Il ne pensait pas à une superbe croix en or, mais à une place d’exécution. La vie chrétienne est composée de multiples morts. Mourir à soi-même est l’expérience d’une vie. Porter sa croix c’est mourir chaque jour un peu plus à soi-même, au péché, à ce monde. C’est renoncer à ses droits, ses désirs, sa réputation. Tout cela a un but : expérimenter la vraie vie. Paradoxalement, la seule façon de vivre la vie nouvelle, abondante et éternelle promise par Jésus c’est de passer pour la mort de la croix quotidiennement. Si la vie t’intéresse…meurt ! Adieu !
1. Je m’identifie à Jésus-Christ.
Les gens aiment s’associer aux champions et aux vainqueurs. C'est pourquoi, ils sont fiers d’être partisans du Canadien au hockey ou du Brésil au soccer. Par contre, beaucoup de croyants ont honte de leur foi en Jésus et n’osent pas trop s’afficher comme étant chrétien au travail ou à l’école. Qui veut se vanter en effet, selon les valeurs de ce monde, d’avoir un homme mort sur une croix pour héros? Porter sa croix, c’est déclarer et vivre publiquement sa foi en Jésus malgré les risques de critiques, de rejets et de moqueries.
2. Je souffre pour Jésus-Christ
Personne également n’aime souffrir, moi le premier. Comme quelqu’un a déjà dit : certains changent en voyant la lumière alors que d’autres changent en sentant la chaleur. Qui ne se rappelle pas d’un incident quand tout petit nous avons tenté toucher au rond chaud du poêle malgré les avertissements de notre mère? L’avez-vous refait? Non! C’est la souffrance qui vous l’a appris. La souffrance est pédagogique en ce qu'elle nous pousse à changer, corriger, évoluer. Dieu veut nous apprendre la confiance, la sainteté, la discipline, la consécration, l’engagement et toutes ces choses afin de se glorifier dans nos vies et pour ce faire il doit permettre des circonstances difficiles. Humblement, je dois vous avouer que j’ai de multiples cicatrices spirituelles causées par des péchés que Dieu a extirpés de mon cœur, des rejets au travers desquels Dieu a voulu m’apprendre à me confier en Lui seul, des humiliations pour briser mon orgueil, des épreuves pour tester ma foi etc. Porter sa croix, c’est subir les diverses souffrances de la vie chrétienne en sachant que Dieu est à l’œuvre et que son plan est parfait.
3. Je meurs en Jésus-Christ.
Billy Graham a déjà dit la chose suivante. Quand Jésus disait si vous voulez me suivre, prenez votre croix, c’est la même chose que s’il disait aujourd’hui, venez et amenez votre chaise électrique ou portez votre chambre à gaz. Il ne pensait pas à une superbe croix en or, mais à une place d’exécution. La vie chrétienne est composée de multiples morts. Mourir à soi-même est l’expérience d’une vie. Porter sa croix c’est mourir chaque jour un peu plus à soi-même, au péché, à ce monde. C’est renoncer à ses droits, ses désirs, sa réputation. Tout cela a un but : expérimenter la vraie vie. Paradoxalement, la seule façon de vivre la vie nouvelle, abondante et éternelle promise par Jésus c’est de passer pour la mort de la croix quotidiennement. Si la vie t’intéresse…meurt ! Adieu !
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